PRIMYXINE, pommade, tube de 15 g
Retiré du marché le : 13/07/2012
Dernière révision : 12/09/2000
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : TRADIPHAR
- Traitement d'appoint des infections cutanées staphylococciques et/ou streptococciques (furoncle, furonculose, anthrax, impétigo, sycosis, ecthyma...) et des dermatoses impétiginisées.
- Eradication des staphylocoques sensibles dans les gîtes microbiens.
NB : la présence de polymyxine n'est justifiée qu'en cas de présence de germe Gram-.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
- Eradication des staphylocoques sensibles dans les gîtes microbiens.
NB : la présence de polymyxine n'est justifiée qu'en cas de présence de germe Gram-.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
- Hypersensibilité à l'un des constituants de la formule.
- Infections mammaires : Ne pas utiliser en cas d'infections mammaires lors de l'allaitement, en raison du risque d'ingestion par le nouveau-né.
- Infections mammaires : Ne pas utiliser en cas d'infections mammaires lors de l'allaitement, en raison du risque d'ingestion par le nouveau-né.
MISES EN GARDE :
- En cas d'infection streptococcique, une antibiothérapie par voie générale devra être envisagée.
- La sensibilisation par voie cutanée peut compromettre l'utilisation ultérieure par voie générale d'un antibiotique de la même famille.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- En raison du risque de photosensibilisation, éviter l'exposition aux rayonnements UV solaires ou artificiels.
- Risque de sélection de germes résistants en cas de traitement prolongé.
- Cette forme pommade n'est pas adaptée au traitement des lésions suintantes, macérées, des plis, ni des ulcères de jambe.
- En cas d'infection streptococcique, une antibiothérapie par voie générale devra être envisagée.
- La sensibilisation par voie cutanée peut compromettre l'utilisation ultérieure par voie générale d'un antibiotique de la même famille.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- En raison du risque de photosensibilisation, éviter l'exposition aux rayonnements UV solaires ou artificiels.
- Risque de sélection de germes résistants en cas de traitement prolongé.
- Cette forme pommade n'est pas adaptée au traitement des lésions suintantes, macérées, des plis, ni des ulcères de jambe.
- Possibilité d'eczéma allergique de contact. Les lésions d'eczéma peuvent disséminer à distance des zones traitées.
- Risque de photosensibilisation.
- Risque de photosensibilisation.
Allaitement :
Ne pas utiliser en cas d'infections mammaires lors de l'allaitement, en raison du risque d'ingestion du produit par le nouveau-né.
Ne pas utiliser en cas d'infections mammaires lors de l'allaitement, en raison du risque d'ingestion du produit par le nouveau-né.
Sans objet.
2 ou 3 applications par jour.
La durée du traitement n'excédera pas 8 jours, en raison du risque de sélection de germes résistants.
La durée du traitement n'excédera pas 8 jours, en raison du risque de sélection de germes résistants.
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C.
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C.
Sans objet.
Sans objet.
ANTIBIOTHERAPIE LOCALE.
(D : dermatologie).
La chlortétracycline est un antibiotique de la famille des cyclines.
La polymyxine B est un antibiotique polypeptidique de la famille des polymyxines.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
OXYTETRACYCLINE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 4 mg/L et R > 8 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Bacillus.
. Entérocoques (40-80%).
. Staphylococcus méti-S.
. Staphylococcus rnéti-R* (70-80%).
. Streptococcus A (20%).
. Streptococcus B (80-90%).
. Streptococcus pneumoniae (20-40%).
- Aérobies à Gram négatif :
. Branhamella catarrhalis.
. Brucella.
. Escherichia coli (20-40%).
. Haemophilus influenzae (10%).
. Klebsiella (10-30%).
. Neisseria gonorrhoeae.
. Pasteurella.
. Vibrio cholerae.
- Anaérobies :
Propionibacterium acnes.
- Autres :
. Borrelia burgdorferi.
. Chlamydia.
. Coxiella burnetti.
. Leptospira.
. Mycoplasma pneumoniae.
. Rickettsia.
. Treponema pallidum.
. Ureaplasma urealyticum.
ESPECES RESISTANTES :
Aérobies à Gram négatif :
- Acinetobacter.
- Proteus mirabilis.
- Proteus vulgaris.
- Pseudomonas.
- Serratia.
*La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
POLYMYXINE B :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 2 mg/L et R > 2 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
Aérobies à Gram négatif :
- Acinetobacter.
- Aeromonas.
- Alcaligenes.
- Citrobacter freundii.
- Citrobacter koseri.
- Enterobacter.
- Escherichia coli.
- Klebsiella.
- Moraxella.
- Pseudomonas aeruginosa.
- Salmonella.
- Shigella.
- Stenotrophomonas maltophilia (0-30%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Cocci et bacilles.
- Aérobies à Gram négatif :
. Branhamella catarrhalis.
. Brucella.
. Burkholderia cepacia.
. Burkholderia pseudomallei.
. Campylobacter.
. Chryseobacerium meningosepticum.
. Legionella.
. Morganella.
. Neisseria.
. Proteus.
. Providencia.
. Serratia.
. Vibrio cholerae El Tor.
- Anaérobies :
Cocci et bacilles.
- Autres :
Mycobactéries.
Remarque : ces spectres correspondent à ceux des formes systémiques de ces antibiotiques. Avec les présentations pharmaceutiques locales, les concentrations obtenues in situ sont très supérieures aux concentrations plasmatiques. Quelques incertitudes demeurent sur la cinétique des concentrations in situ, sur les conditions physico-chimiques locales qui peuvent modifier l'activité de l'antibiotique et sur la stabilité du produit in situ.
(D : dermatologie).
La chlortétracycline est un antibiotique de la famille des cyclines.
La polymyxine B est un antibiotique polypeptidique de la famille des polymyxines.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
OXYTETRACYCLINE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 4 mg/L et R > 8 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Bacillus.
. Entérocoques (40-80%).
. Staphylococcus méti-S.
. Staphylococcus rnéti-R* (70-80%).
. Streptococcus A (20%).
. Streptococcus B (80-90%).
. Streptococcus pneumoniae (20-40%).
- Aérobies à Gram négatif :
. Branhamella catarrhalis.
. Brucella.
. Escherichia coli (20-40%).
. Haemophilus influenzae (10%).
. Klebsiella (10-30%).
. Neisseria gonorrhoeae.
. Pasteurella.
. Vibrio cholerae.
- Anaérobies :
Propionibacterium acnes.
- Autres :
. Borrelia burgdorferi.
. Chlamydia.
. Coxiella burnetti.
. Leptospira.
. Mycoplasma pneumoniae.
. Rickettsia.
. Treponema pallidum.
. Ureaplasma urealyticum.
ESPECES RESISTANTES :
Aérobies à Gram négatif :
- Acinetobacter.
- Proteus mirabilis.
- Proteus vulgaris.
- Pseudomonas.
- Serratia.
*La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
POLYMYXINE B :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 2 mg/L et R > 2 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
Aérobies à Gram négatif :
- Acinetobacter.
- Aeromonas.
- Alcaligenes.
- Citrobacter freundii.
- Citrobacter koseri.
- Enterobacter.
- Escherichia coli.
- Klebsiella.
- Moraxella.
- Pseudomonas aeruginosa.
- Salmonella.
- Shigella.
- Stenotrophomonas maltophilia (0-30%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Cocci et bacilles.
- Aérobies à Gram négatif :
. Branhamella catarrhalis.
. Brucella.
. Burkholderia cepacia.
. Burkholderia pseudomallei.
. Campylobacter.
. Chryseobacerium meningosepticum.
. Legionella.
. Morganella.
. Neisseria.
. Proteus.
. Providencia.
. Serratia.
. Vibrio cholerae El Tor.
- Anaérobies :
Cocci et bacilles.
- Autres :
Mycobactéries.
Remarque : ces spectres correspondent à ceux des formes systémiques de ces antibiotiques. Avec les présentations pharmaceutiques locales, les concentrations obtenues in situ sont très supérieures aux concentrations plasmatiques. Quelques incertitudes demeurent sur la cinétique des concentrations in situ, sur les conditions physico-chimiques locales qui peuvent modifier l'activité de l'antibiotique et sur la stabilité du produit in situ.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
Tube (aluminium verni) de 15 g.